« Le mur et la peur » du photographe Gaël Turine

Bangladesh, Dacca, 02 septembre 2012 - Jotana, 65 ans, est arrivée à Dacca une semaine auparavant. Elle a rejoint son fils qui vit dans un quartier pauvre depuis trente ans. Elle vient de la région frontalière de Sathkira mais elle ne pouvait pas subvenir seule à ses besoins dans son village d'origine. Ses deux autres fils sont contrebandiers et elle ne les voit plus car ils doivent se cacher des gardes-frontières du Bangladesh. Le quartier est dangereux à cause des trains qui passent près des maisons. Les accidents impliquant les enfants et les personnes âgées sont assez fréquents. © Gael Turine / Agence VU

Bangladesh, Dacca, 02 septembre 2012 – Jotana, 65 ans, est arrivée à Dacca une semaine auparavant. Elle a rejoint son fils qui vit dans un quartier pauvre depuis trente ans. Elle vient de la région frontalière de Sathkira mais elle ne pouvait pas subvenir seule à ses besoins dans son village d’origine. Ses deux autres fils sont contrebandiers et elle ne les voit plus car ils doivent se cacher des gardes-frontières du Bangladesh. Le quartier est dangereux à cause des trains qui passent près des maisons. Les accidents impliquant les enfants et les personnes âgées sont assez fréquents. © Gael Turine / Agence VU

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Bangladesh, Dhaka, 02 September 2012
Jotona, 65, moved to Dhaka a week ago. She joined her son who has been living in a slum for over 30 years. She comes from the border region of Satkhira but couldn’t manage to live on her own in her village. Since her two other sons are involved in business trafficking with India, she doesnít see them anymore because they have to hide from the Bangladesh Guards Border patrols. This slum is dangerous because of the trains passing close to the habitations. Accidents involving children and old people are very frequent.

Bangladesh, Dacca, 02 septembre 2012
Jotana, 65 ans, est arrivée à Dacca une semaine auparavant. Elle a rejoint son fils qui vit dans un quartier pauvre depuis trente ans. Elle vient de la région frontalière de Sathkira mais elle ne pouvait pas subvenir seule à ses besoins dans son village d’origine. Ses deux autres fils sont contrebandiers et elle ne les voit plus car ils doivent se cacher des gardes-frontières du Bangladesh. Le quartier est dangereux à cause des trains qui passent près des maisons. Les accidents impliquant les enfants et les personnes âgées sont assez fréquents.

Gael Turine / Agence VU

Michel Puech