Crédit Lyonnais, la banque. Surpris par l’arrivée d’une équipe de convoyeurs de fonds, les trois truands avaient déclenché une fusillade.L ‘un d’entre eux avait réussi à s’enfuir, tandis que ses complices s’étaient retranchés dans la banque avec une vingtaine d’otages.Ils exigeaient deux millions de francs, une somme équivalente en dollars, ainsi qu’une voiture.
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1975, un braquage à Paris, j’ai plus peur qu’à Beyrouth