C’est avec une immense tristesse que j’ai appris la nouvelle du décès de Claude.
Claude Salhani était un accro au journalisme, un photojournaliste très talentueux puis un analyste politique et un écrivain.
Il a commencé ma carrière de photojournaliste quand il m’a embauchée à UPI en 1984. Il m’a ensuite embauchée de nouveau chez Reuters et il y a quelques années seulement il m’a dit: « Si j’étais encore un patron, je vous embaucherais à nouveau ».
Le talent de Claude n’avait pas de limites, son sens de l’humour était contagieux. Pour moi, c’était un mentor et un ami très cher. Si je voulais raconter les nombreuses histoires de mon voyage avec Claude, d’abord en tant que patron et plus tard en tant qu’ami cher, je pourrais écrire des pages et des pages…
Adieu beau mec, jusqu’à ce que nous nous revoyions au paradis ou en enfer (où nous sommes tous les deux convenus que ce devait être plus amusant et où nous trouverons la plupart de nos amis) ou quelque part entre les deux, afin que tu puisses m’engager à nouveau dans l’agence de presse que tu voudras certainement créer là. Vous allez terriblement manquer à ceux qui vous aiment.
Mes plus sincères sympathies vont à ses beaux-enfants, Isabelle et Justin Olivier Salhani.
Aline ManoukianDernière révision le 9 octobre 2024 à 9:43 am GMT+0100 par