Maryam Firuzi
Souvenirs épars d’un avenir déformé

Sahar a peint sur le mur d’une école incendiée qui est sur le point d’être démolie pour une nouvelle construction. Cette école, qui ne fonctionne plus depuis 30 ans, est située dans l’une des rues les plus prospères de Téhéran. Sahar et son mari ont l’intention d’immigrer au Canada pour le bien de leur fils de six ans. Elle ne peut pas imaginer un avenir fructueux pour sa famille dans sa mère patrie.

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Souvenirs épars d’un avenir déformé