Il est comme tout le monde, l’aveugle.
Pour une fois, il est comme le monde qui ne va pas
Dont il ne supporte plus les nouvelles
Qui tombent dans sa tête
Comme des roquettes de malheur
D’inquiétude
L’air est irrespirable
Les mots se meurent
La haine est partout
Il n’en peut plus
Il n’en veut plus
De ces informations qui sont toute sa vie
Qu’il maudit
Sans pouvoir s’en arracher
S’en défaire
Ce qu’il devrait pourtant faire
En s’appuyant sur la célèbre phrase de René de Obaldia :
« Arrêtez le monde, je voudrais descendre ».
Mais il ne voit pas où aller…
Dernière révision le 27 janvier 2024 à 6:47 pm GMT+0100 par la rédaction
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