Après la révolution, l’exode.
A la chute de Ben Ali, des milliers de Tunisiens a cru qu’ils pourraient offrir une vie meilleure à leur famille en migrant vers l’Europe.
Ils se surnomment « harragas ». Ce sont des migrants clandestins qui risquent leurs vies en embarquant sur des chalutiers de fortune pour traverser la Méditerranée et échouer sur l’île italienne de Lampedusa.