
En 2013, au lendemain de sa libération, j’ai rencontré Jonathan Alpeyrie qui sortait d’un calvaire de 81 jours de détention par les djihadistes en Syrie. Une interview qui m’a marquée. Et puis, nous nous sommes perdus de vue. Il y a quelques semaines, Jonathan m’a rappelé. Il va séjourner en Europe et va publier un livre sur ses reportages sur les narcotrafiquants. Une bonne raison de se reparler.