
Aux États-Unis, la crise de la presse a entraîné la disparition d’un quart des journaux en quinze ans et une réduction de moitié des effectifs dans les rédactions. Parmi les plus touchés figurent les photographes, souvent les premiers à perdre leur poste lors des coupes budgétaires. Face à cette situation, l’association CatchLight, basée à San Francisco, œuvre pour financer des postes de photographe dans les rédactions locales afin de démontrer la valeur du journalisme visuel et lutter contre les « déserts d’image ». Voir la suite